..... | Chirac |
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Présentation - Blason - Carte de Cassini - Média - Individus
Situé à l'ouest du département de la Lozère, à 27 kilomètres de Mende chef-lieu du département, et à 5
de Marvejols, en région Occitanie, Chirac est entouré par les communes de
Saint-Bonnet-de-Chirac, Marvejols et Antrenas. Ses habitants sont appelés les Chiracois et les Chiracoises.
Les hameaux de Chirac sont : Alteyrac, La Chazette, Le Croisier, Fabrèges,
Le Massibert, Pratbinals, Ras, Les Redondes, Le Rougarde, Le Serre,
La Valette, Les Violles, Volmanières.
La rivière la Colagne - affluent du Lot, le ruisseau de Sénouard, et le ruisseau des Crisoués sont les principaux cours d'eau qui traversent le village de Chirac.
Chirac, dont l'altitude varie entre un minimum de 605 mètres et un maximum de 1.254 mètres pour une altitude moyenne de 930 mètres, couvre une
superficie de 33,79 km².
Chirac présente un relief très accidenté le bourg est à une altitude de 630 mètres et le point le plus élevé, la montagne de Moutasset à 1.226
mètres. Le point le plus bas sur les bords de la Colagne est à 613 mètres d'altitude. Chirac s'étend sur 33,8 km² et compte 1 210 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2004. Avec une densité de 35,8
habitants par km², soit une hausse de 20,4% de sa population par rapport à 1999.
Chirac est aujourd'hui une commune déléguée de la nouvelle commune de Bourgs-sur-Colagne suite à sa fusion avec la commune du
Monastier-Pin-Moriès. Elle fait partie de la Communauté de communes du Gévaudan et est proche du parc naturel régional des Grands Causses.
I- Des Celtes à l'acte de paréage de 1307. - II- De la Guerre de 100 ans aux guerres de
religion
Le village de Chirac est certainement d'origine celtique si l'on se base sur la terminaison en "ac" qui est
commune avec Chanac, Banassac, Aurillac, Sévérac... Tous les chroniqueurs s'accordent sur le fait que Chirac est l'une des plus anciennes villes
du Gévaudan, témoins les vieux momuments druidiques qu'on rencontrait aux environs.
Les études menées au XIXe et XXe siècles par Louis de Malafosse et Adrien de Mortillet font état de plusieurs dolmens en terre de Chirac. L'un situé à
l'ouest sur le chemin des Salces a été détruit, le second situé au sud du Camp des Anglais a été détruit lors de la construction de l'autoroute
A 75.
Le dernier reste solidement accroché le flanc du Truc de la Fare.
La Chazelle Notre-Dame est un superbe dolmen, un des
plus beaux et des mieux conservés de Lozère. Jadis isolé, il est aujourd'hui intégré au développement du village, entouré de maisons, en bordure
d'une route. A l'intérieur ont été retrouvé, suite à de nombreuses fouilles, 62 squelettes humains, des flèches, haches et des couteaux en
pierre.
"Il consiste en une énorme dalle posée à plat sur deux autres posées de champ. La chambre haute mesure 1,50 m, elle est longue de 3,10 m sa largeur
varie entre 1,20 et 1,50 m. La dalle de droite mesure 3,45m de long, celle de droite 4,80 m.
La table de forme ovale mesure 12 m de circonférence, 3,90 m de long et 3,10 m de large avec une épaisseur variant entre 30 et 60 cm.
A l'intérieur ont été retrouvé, suite à de nombreuses fouilles, 62 squeletetes humains des ossements, des flèches, haches et des couteux en
pierre."
La fertilité du sol de la vallée où est situé Chirac est un autre élément qui fait que ce lieu a été habité de préférence aux Causses et aux
montagnes dès les premiers jours de la civilisation romaine. La domination romaine durera jusqu'au IVe siècle. Au IIIe et IVe siècles le pays
fut ravagé par les invasions Barbares : Vandales, puis les Wisigoths. Puis par les Sarasins au IXe, les Hongrois au XIIIe, les Anglais au XIVe et
enfin par les guerres de religion.
Chirac fut jadis une place forte défendue par des remparts, des fossés et des châteaux dont il existe encore quelques rares
vestiges. Au Moyen-Âge, la ville de Chirac, qui était beaucoup plus peuplé qu'aujourd'hui, a été assiégée, prise, reprise, ravagée et même brulée à deux époques :
D'abord, au milieu du XIVe siècle pendant l'occupaction et l'expulsion des Anglais, ensuite lors des guerres de religion entre catholiques et
calvinistes, vers le milieu du XVIe siècle.
Le 26 mars 1062, l'évêque de Mende, Aldebert de Peyre et son
frère Astorg, baron de Peyre, l'un des huit barons du Gévaudan, et
certainement le plus puissant, et coseigneur de Chirac, cèdent le monastère Saint-Sauveur de Chirac à l'abbaye Saint-Victor de Marseille
en présence de Durand, Abbé de Saint-Victor de Marseille.
Voir l'acte.
Les moines de Saint-Victor de Marseille avaient pénétré en Gévaudan, une dizaine d'année auparavant, en Cévennes, puis en 1060 dans la vallée
du Lot à Saint-Martin de la Canourgue. Ils atteindront quelques années plus tard la vallée de la Colagne et en 1074 Nasbinas et Saint-Urcize. Les raisons du succès de
l'abbaye Saint-Victor de Marseille, certainement les grandes libératités consenties par les vicomtes de Marseille.
Aldebert fit don au monastère de tous les biens qu'il possédait à Chirac afin que ce monastère fit à perpetuité des prières pour ses proches
et ses parents vivants et défunts. Aldebert donna donc à l'abbé de Saint-Victor de Marseille l'autel et le monastère pour en faire usage pour le
service de Dieu, pour le bien et le profit de Chirac. Si ce monastère vient à prospérer, il souhaite que l'abbé de Saint-Victor de Marseille envoi
au monsatère de Chirac un abbé suivant la règle de Saint-Benoît. L'histoire de Chirac est désormais liée à celle de ce monastère marseillais.
L'abbé de Saint-Victor de Marseille envoya des religieux de son ordre pour organiser le monastère de Saint-Sauveur.
On y adopta la règle de Saint-Benoît.
- Le monastère fut placé sous l'autorité et la juridiction spirituelle de Saint-Victor de Marseille.
- Les religieux étaient douze et vivaient sous le régime d'un prieur.
- Ils prennaient leurs repas en commun au réfectoire, à la réserve du sacristain qui était obligé de garder l'église.
- Ils devaient tous dormir dans le même dortroir à la réserve de l'abbé.
- Leur habit était la soutane noire, à plis coulants et à larges bords.
- Ils ne portaient pas la couronne bénedictine sur la tête, mais une longue chevelure.
- Au commencement, il leur était défendu de manger de la viande, sauf le cas de maladie ou de débilité et ce avec la permission de l'abbé ou du prieur.
- Ils ne pouvaient se servir de linge en leur lit.
- En 1208, ils obtienrent la possibilité de manger de la viande, excepté devant les séculiers de peur du scandale.
En 1549, le pape Jules III leur permit de quitter leurs habits pour se mettre au lit et d'user de linceuls et de linge, de manger de la viande
cinq jours par semaine et chacun d'eux obtient la libre disposition des revenus et bénéfices dont il était titulaire.
Source : Léon Costecalde "Chirac" - édition Lacour - mars 2011.
La construction de l'église du prieuré aurait commencé vers 1070. En attendant sa conscrution définitive, les douze moines auraient habité le
castrum de Chirac. Les offices étant célébrés dans l'église Saint-Vincent (chapelle du château de Chirac). Cette église qui existait encore en
1307, date de la signature du parérage a aujoud'hui disparue.
En 1074, Bertrand et Robert, frères d'Aldebert - avec le femme de Robert - firent dons à l'abbaye Saint-Victor de Marseille d'églises et
de droits qu'ils avaient en Gévaudan.
Dans la nuit de Noël 1074, les Chiracois se révoltèrent contre les moines Bénédictins du prieuré, les portes de ce dernier ayant été
fermées privant les fidèles de la messe de minuit. Dans un premier temps, les chevaliers du castrum de Chirac expulsèrent les moines de l'église.
Plus tard, Astorg Ier de Peyre obtint la soumission des chevaliers.
Le 4 juillet 1079 les moines ont pris possession de la nouvelle église.
Selon plusieurs sources écrites, il est aujourd'hui admis que la
consécration de l'église du monastère Saint-Sauveur de Chirac eut lieu le 24 août 1095 en présence du pape urbain II.
Les barons de Peyre vont marquer pronfondément leur empreinte la vie du prieuré pendant un demi siècle avant de s'en détacher quelque peu.
En 1099, Aldebert II de Peyre, fils d'Astorg, donna à Saint-Sauveur de Chirac les bénéfices des églises d'Antrenas, Saint-Martin de Pin,
Saint- Bonnet de Chirac, Sallèles, Salmon Colagnet et de Nasbinals.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
Vivre en autarcie selon la règle de Saint-Benoît a conduit les moines à développer de nombreuses activités :
Bénéficiant des prodigalités des barons de Peyre, l'abbaye Bénédictine connut une période florissante :
Ils finirent par amasser une fortune conséquente, qu'ils furent invités à partager en versant aux pauvres de la ville
une aumone de 175 setiers de froment, seigle, orge, avoine.
Cette prospérité entraîna des convoitises et des jalousies avec d'autres moines revelant de Saint-Victor de Marseille.
Le monastère de Saint-Sauveur exerçait aussi le pouvoir spirituel puisque le prieur de l'abbaye était de droit celui de Saint-Romain de Chirac. Il
détenait aussi le pouvoir économique et judiciaire. L'hommage rendu en 1261 au baron de Peyre délimitait les compétences respectives. Les crimes
passibles de mort ou de mutilation d'un membre étaient du ressort du baron de Peyre. Les délits entraînant confiscation d'un bien du ressort du
prieur.
Si Saint-Sauveur de Chirac n'atteindra jamais le rayonnement de Saint-Victor de Marseille, ce prieuré reste l'un des plus remarquables du
Gévaudan. Vers le millieu du XIVe siècle, il donnera naissance au village du Monastier.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
L'arrivée de Guillaume de
Griomard, futur pape d'Avignon Urbain V à Saint-Sauveur de Chirac est situé vers 1327 ou 1328.
Au terme de brillantes études de juriste, rentré en qualité de novice, Guillaume de Grimoard reçu une solide formation spirituelle et s'initia au
rythme qui rythmait les journées : la messe et les sept offices divins. Après avoir prononcé ses voeux, Guillaume de Grimoard resta seulement quelques
mois à aint-Sauveur, dont son oncle Anglic de Grimoard était le prieur. En effet, en 1329, il est qualifié de moine de Saint-Victor de Marseille.
Devenu souverain pontife, il n'oublia pas le monastère de Saint-Sauveur de Chirac. Il décida la reconstruction de l'église sur un plan vaste et la fortifia.
La tour carrée dréssée par Pierre Dupeyron de Saint-Flour et Pierre Alméras du Monastier deviendra un refuge presque imprenable.
Il obtint la sollicitude du roi Charles VI qui accepta que l'impôt calculé d'après le 13.370 feux vivant dans le diocèse de Mende le soit désormais
en tenant compte de la population réelle après les hostilités de la Guerre de Cent ans. Le Gévaudan ne fut alors taxé que sur 4.610 feux dont 86 à Chirac.
En 1576 le pape Grégoire XIII décida d'unir le prieuré de Saint-Sauveur de Chirac au collège des pères jésuites de Rodez moyennant une rente versée
à perpétuité à l'abbaye Saint-Victor de Marseille.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
Dès le XIe siècle aurait existé dans l'enceinte du castrum Kyriacum un hôpital fondé par Louis de Bonas. Sous le nom de Saint-Jaques,
il accueillait les indigents et les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle qui pendant les mois d'hiver évitaient les rigeurs des plateaux du
Gévaudan.
En 1245, le pape Innocent IV confie l'administration de hôpital, construit dans le quartier des Agachets, aux moines de
la Domerie d'Aubrac. Dans un premier temps,
pendant les XIVe et XVe siècles leur action apporta une planche de salut à la foule de miséreux victimes des épidémies, ou de la guerre de Cent
ans.
Les difficultés commencèrent lorsque le Dom d'Aubrac s'arrogea s'arrogea le droit de mommer le directeur de l'hôpital. Ce droit appartenait alors aux consuls
de Chirac. Les difficultés s'aggravèrent lorsque le commandeur plus soucieux des intérêts de la Domerie d'Aubrac que des indigents de Chirac se
contentat d'une visite annuelle pour relver les bénéfices que son ordre s'était aménagés. Ces sommes étaient en rapport avec les legs importants
faits par les familles riches de Chirac. Les barons de Peyre avaient notamment abandonné aux moines les métairies de Cruzolles, du Mountasset et du
Massibert.
Le commandeur avait aliéné certains biens et cédé les autres en location perpétuelle. Ansi le domaine du Massibert, fut baillé le 11 octobre 1518.
Raymond et Etienne Carlat, puis les Gély; eurent à verser 25 setiers de seigle, 18 livres tournois d'argent, 120 bottes de paille, 4 chars de bois ;
rente déposée à la saint-Michel devant la porte de l'hôpital.
Irrité par tant d'abus, les consuls de Chirac songèrent à intenter un procès mais hésitèrent à cause de la lenteur de la procédure et de la fortune
considérable des moines.
La Révolution française précipitera la décadence de l'hôpital, l'abolition des droits féodaux lui enlevant définitivement les ressources
provenant de la Domerie d'Aubrac et du monastère Saint-Sauveur de Chirac.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
Territoire isolé, le diocèse de Mende échappe au XIIe siècle à l’autorité du roi de France pour être contrôlé
principalement par le comte de Barcelone, puis le roi d’Aragon, qui y possèdent la vicomté de Grèzes, et par l’évêque de Mende.
Suite à la campagne menée en 1226 par le roi Louis VIII en Languedoc, la vicomté de Grèzes et les terres gévaudanaises de Raymond VII de Toulouse
sont saisies par le roi de France.
Depuis l'an 1000, Chirac fut la principale ville de la vicomté
de Grèzes, les deux histoires se confondent donc l'une dans l'autre. Sous les Capétiens, la vicomté est une terre des vicomtes de Gévaudan.
En 1112, Douce de Provence, vicomtesse de Provence, de Gévaudan, de Millau, Lodève et Carlat, fille de Gerbert de Gévaudan et de Gerberge de Provence
épouse Raymond-Bérenger III, comte de Barcelone. Par ce mariage, la vicomté de Grèzes et avec elle la terre de Chirac passe dans la maison de
Barcelone.
Les enfants de Raymond-Bérenger, petit-fils de Raymond-Bérenger III de Barcelone et de Douce de Provence étant morts sans postérité,
Alphonse II, roi d'Aragon, leur cousin, donne en commende à son frère Sanche, les biens de Douce II de Provence.
Après le conflit entre Raymond VI de Toulouse et Alphonse Ier d'Aragon, la vicomté devient possession d'Alphonse Ier. En 1185, Alphonse Ier
reprend le comté de Provence et la vicomté de Millau pour en faire l'apanage de son fils qui n'était âgé que de 3 ans.
Le mariage de Pierre II d'Aragon, petit-fils de Alphonse Ier, son voyage à Rome, son couronnement par le pape Innocent III le 11 novembre 1204
occasionnerent de grandes dépenses. Pour y faire face, Pierre II dut engager la vicomté de Millau et du Gévaudan à
Raymond VI, comte de Toulouse,
son cousin, pour la somme de 150.000 sous melgoriens. Cette transaction fut signée à Millau en avril 1204 entre Pierre II et Raymond VI.
Pierre II d'Aragon qui était venu secourir Raymond VI de Toulouse débordé par les troupes de Simon de Montfort pendant la croisade des Albigeois
meurt au siège de Muret le 12 septembre 1213.
Pendant la Croisade des Albigeois, la vicomté de Grèzes et l'ensemble du Gévaudan sont confiés à la garde de
Guillaume de Peyre, évêque de Mende, beau-fère de Pierre II
d'Aragon.
Par le traité de Meaux de 1229, Raymond VII de Toulouse, vaincu par les troupes royales abandonnait au roi Louis VIII nombre de ses possessions
dont le Gévaudan. Par le traité de Corbeil, le 12 mai 1268, le roi Louis IX renonçait à la Catalogne et le roi jaques Ier d'Aragon ne revendiquait
plus la vicomté de Grèzes.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
Le pouvoir royal et le pouvoir épiscopal se disputent dès le milieu du XIIIe siècle l’exercice de la justice dans le diocèse.
En 1269 l’évêque de
Mende Odilon de Mercœur entame un procès devant le Parlement de Paris où il revendique le majus dominium sur son évêché en s’appuyant notamment
sur la « Bulle d’or », acte octroyé au prélat par Louis VII en 1161.
En 1265, Odilon de de Mercoeur,
évêque de Mende abandonna " omni quae dominus rex habet apud Chiracum". A partir de ce moment, la communauté de Chirac,
les moines de Saint-sauveur, les chevaliers d'Aubrac et les seigneurs de la ville furent dépositaires du pouvoir spirituel et temporel.
Cette nouvelle situation est confirmée, sans doute à l’initiative du roi Philippe le Bel, avec l’approbation de l’évêque Guillaume Durand le Jeune,
par un acte de paréage qui partage entre les deux parties la juridiction dans le diocèse.
"Le paréage apparaît comme un moyen habile d’étendre la protection du roi, certes au prix de l’abandon d’une partie de la juridiction, mais en
imposant un modèle judiciaire qui place le roi au sommet de la pyramide des appels hiérarchiques et qui territorialise le pouvoir par la
constitution de zones cohérentes d’exercice de la
justice." Antoine Meissonnier "Le Gévaudan sous l’empire du roi. Le sens politique du procès et du paréage
entre l’évêque de Mende et le roi de France (1269-1307)" Thèse de l'Ecole des Chartes -2011.
Source : "Pages incontournables de l'histoire de Chirac" - Jean-Paul et Michel Mazot - Société des Lettres Sciences et Arts de la Lozère -
septembre 2017.
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